mardi 29 septembre 2015

"Lacan et la boîte de mouchoirs - Saison 1" de Chris Simon

Cet été, j'ai enfin lu la saison 1 de cette série dont j'entends parler depuis tant de temps. Il est question de "Lacan et la boîte de mouchoirs" de Chris Simon

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Titre : "Lacan et la boîte de mouchoirs - Saison 1"
Auteur : Chris Simon
Genre : série humouristique
Editeur : Indépendant
Parution : 2013 / 100 pages
ISBN : 979-10-192982-01-5


Extraits de la 4e de couverture : "Envie d'essayer la psychanalyse, mais vous n'avez pas encore franchi le pas ? Curieuse ou curieux de savoir ce qu'il se passe derrière la porte d'un cabinet de psy quand vous n'y êtes pas ? Voici l'occasion !

Lacan et la boîte de mouchoirs vous fait entrer discrètement dans le cabinet d'un psychanalyste en pleine séance avec sa patiente. On y rencontre Jacques Lacan, Sigmund Freud et une drôle d'absence... La psychanalyse pour les nuls !"


Avis : Tout d'abord, c'est par Chris Simon que j'ai pris connaissance des séries littéraires. J'ai lu, lors de sa sortie, la saison 1 de "Brooklyn Paradis" dont j'ai dévoré les 6 épisodes. Cette fois-ci, j'ai voulu découvrir sa première série "Lacan et la boîte de mouchoirs". Les deux premières saisons sont sorties et la troisième et dernière sort cet automne.
J'avais un peu peur car le monde des psys m'est totalement inconnu et je craignais que l'histoire ne m'intéresse pas. Cela ne fut pas le cas et j'ai passé un moment très agréable à suivre l’héroïne lors de ses séances, prendre connaissance de sa vie, de ses travers.

Quant aux systèmes d'épisodes/séances, je pense que je ne suis pas assez patiente pour attendre leur sortie et préfère lire lorsque la saison est terminée, mais il est idéal pour ceux qui n'ont pas beaucoup de temps pour lire. D'ailleurs, dès que j'avais un moment, j'en profitais.


vendredi 25 septembre 2015

"La Constellation du Chien" de Peter Heller

Depuis 1 an 1/2, je participe avec bonheur à un cercle de lecture, animé par ma libraire (hors pair). J'y participe avec plaisir et découvre, chaque mois, des livres. Pour cette rentrée, nous devions lire "La Constellation du Chien" de Peter Heller, paru aux éditions Babel.

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Titre : "La Constellation du Chien"
Auteur : Peter Heller
Genre : Anticipation
Editeur : Babel
Traduction : Céline Leroy
Parution : juin 2015 - 416 pages
ISBN : 978-2-330-05111-2


Extraits de la 4e de couverture : "Quelque part dans le Colorado, neuf ans après la Fin de Toute Chose. L'art de survivre est devenu un sport extrême, un jeu de massacre. Soumis aux circonstances hostiles, Hig, doux rêveur tendance chasse pêche et poésie chinoise, fait équipe avec Bangley, vieux cow-boy chatouilleux de la gâchette. Bangley défend la baraque comme un camp retranché. Hig "sécurise le périmètre" à coups de méthodiques vols de surveillance à bord de "la Bête", solide petit Cessna 182 de 1956 toujours opérationnel. Partage des compétences et respect mutuel acquis à force de se sauver mutuellement la vie, ils ont fini par constituer un vieux couple tout en virilité bourrue et interdépendance pudique. Mais l'homme est ainsi fait, tant qu'il est en vie, il continue à chercher plus loin, à vouloir connaître la suite.

A la fois captivant roman d'aventures, grand huit des émotions humaines, hymne à la douloureuse beauté de la nature et révélation littéraire, "La Constellation du Chien" est tour à tour contemplatif et haletant, déchirant et hilarant."


Avis : En premier lieu, j'ai beaucoup aimé la couverture de ce roman post-apocalyptique. Je trouve qu'elle décrit très bien l'ambiance que nous y découvrons à l'intérieur.
Les personnages y sont merveilleusement bien décrits. Pas physiquement car ce n'est pas ce qui importe dans ce livre mais leur trait de caractère sont suggérés avec beauté. Ils acquièrent, de ce fait, une dimension, de l'épaisseur et en deviennent très attachants.

L'anticipation est un genre que j'apprécie beaucoup et, fait rare dans ce genre, ce livre est très bien écrit, donnant un réel bonheur à la lecture. Le style est particulier mais admirable.

Nous prenons connaissance de ce nouveau monde en partageant les pensées du personnages principal. L'action ne prime pas mais cela ne gêne nullement car la psychologie des personnages l'emporte, sans que je n'ai eu le temps de m'ennuyer.

Ce livre se décompose en trois parties, trois phases de ce monde post-apocalyptique. A la fin de la première partie, j'ai versé quelques larmes mais je n'en dis pas plus, je préfère vous laisser le lire.


mardi 22 septembre 2015

"Je tue les enfants français dans les jardins..." de Marie Neuser

Le livre dont je vais vous parler dans cette chronique m'a été conseillé par ma libraire. Je l'ai lu cet été, il s'agit de "Je tue les enfants français dans les jardins..." de Marie Neuser, paru cette année aux éditions Pocket.

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Titre : "Je tue les enfants français dans les jardins..."
Auteur : Marie Neuser
Genre : roman noir
Editeur : Pocket
Parution : 2015 / 151 pages
ISBN : 978-2266238427


Extraits de la 4e de couverture : "Lisa, jeune professeur d'italien, se rend chaque jour au collège comme on va à la guerre, avec, en guise d'armée ennemie, les élèves. Au fond de la classe, les garçons se disputent le rôle de commandant en chef en rivalisant d'insultes et de menaces. Du côté des filles, ce n'est guère plus apaisé : comment faire comprendre à une gamine de douze ans qu'elle ne doit pas se prostituer, même pour se payer des vêtements de marque? Seule solution pour survivre sur ce champ de bataille où règne la loi du plus fort, se forger une carapace, en attendant son heure... l'heure de la contre-attaque."


Avis : On découvre les journées d'une jeune prof d'italien dans un collège, ses doutes, ses appréhensions, comment se comportent ses élèves.
C'est un petit livre qui est difficile à lire car ce qui y est décrit est noir. Les comportements de ces élèves est durs et cette noirceur vient du fait qu'elle reflète la vérité. Pas la vérité universelle mais en tout cas, une vérité. J'ai donc trouvé ce livre déprimant.

J'ai tout de même bien aimé comment l'histoire est menée et tout particulièrement la chute. Je n'en parlerai pas pour vous laisser la surprise si vous souhaitez lire ce livre.


vendredi 18 septembre 2015

"L'outrepêcheur - la naissance de l'écume" de Christophe Prat

Avec la rentrée, un grand changement s'est annoncé pour la catégorie de "chroniques littéraires" de mon site pro. J'ai souhaité l’agrandir, parler de plus de livres et pas seulement de ceux lus en partenariat. J'ai donc décidé de faire renaître de ces cendres ce blog.
Environ chaque mois, je ferai un bilan que je partagerai sur mon site pro.
Autre nouveauté, ces chroniques seront également visibles en vidéos. Il faudra être indulgent avec moi qui commence tout juste à me servir de cet outil. Toutes les vidéos se retrouveront sur ma chaîne Youtube, "Les délices de Corylus".
Vous pouvez aussi me retrouver sur la page Facebook.

Je remercie Ella Editions de m'avoir fait parvenir le tome 1 "La naissance de l'écume" du cycle "L'outrepêcheur" de Christophe Prat.

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outrepecheurTitre : "L'outrepêcheur - la naissance de l'écume"
Auteur : Christophe Prat
Genre : fantastique
Editeur : Ella Editions
Parution : 2015 - ISBN : 978-2-36803-069-1 - 256 pages


Extraits de la 4e de couverture : "Gabriel et Thaïs sont amoureux depuis toujours. Ils grandissent au bord de l'océan, entre l'Herbaudière et Noirmoutier.
Lorsque des phénomènes étranges surgissent du fond des mers, lorsque les militaires envahissent leur île, et que la colère gronde parmi les pêcheurs, les amoureux sont projetés au centre d'un mystère qui va bouleverser leur monde !
Et changer à jamais notre futur..."


Avis : Je me suis plongée (c'est le cas de le dire) avec une facilité déconcertante dans cette histoire. Elle se déroule à Noirmoutier et la mer est omniprésente. Nous découvrons les personnages, attachants, qui composent cette histoire. Gabriel et Thaïs, de jeunes amoureux, qui se connaissent depuis l'enfance, la petite Camille, en vacances sur l'île avec sa mère, Richard, le capitaine de gendarmerie et "la Pigouille", cette femme étrange.
De curieux phénomènes se produisent et nous emportent dans une belle aventure, un conte que j'aurais aimé que l'on me raconte enfant et que j'ai pris plaisir à lire aujourd'hui.
Face à ces phénomènes, j'ai aimé la mise en garde de Gabriel à son amie : "Thaïs, je te l'ai déjà répété cent fois. On a maltraité l'océan, l'océan s'éveille, il nous avertit."
Ce livre n'est que le premier d'une série et j'ai bien envie de découvrir les quatre tomes suivants de ce cycle mais il va falloir attendre.



lundi 14 septembre 2015

« L’Indonésienne » de Pierre-Alain Gasse

Cette fois-ci, c’est un auteur qui m’a contactée pour que je lise son livre. Je le remercie de me l’avoir fait parvenir et je peux dire que je l’ai dévoré. Il s’agit de « L’Indonésienne » de Pierre-Alain Gasse, paru aux éditions de la Rémanence.

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LIndonsienne_UNETitre :
« L’Indonésienne – Singapore maid »
Auteur : Pierre-Alain Gasse
Genre : récit
Editeur : Editions de la Rémanence
Parution : 2015 –
ISBN : 979-10-93552-17-0 – 118 pages


Extraits de la 4è de couverture : « Ratih, jeune Indonésienne divorcée avec une ado à charge, gagne péniblement sa vie dans un food court de Bandung Pinang. Passionnée de cuisine, son rêve, c’est d’avoir un jour un petit restaurant bien à elle. Alors, elle s’engage comme maid – employée de maison – chez une famille chinoise de la cité-état de Singapour, pour quelques années, pense-t-elle, le temps de réunir les économies nécessaires. Ses riches patrons sont très exigeants, son travail sans fin et sa vie privée inexistante. Mais, tant bien que mal, elle fait face à toutes ces difficultés, jusqu’à ce qu’un grain de sable vienne perturber son quotidien et ses projets… »


Avis : En entamant le livre, je ne pensais pas que je le lirais aussi vite. Effectivement, je me suis facilement laissée emportée par l’histoire et ai tourné la dernière page quelques heures après.
Ratih est très attachante et j’ai découvert à travers elle le monde des « maids » à Singapour : des journées qui n’en finissent pas, des maîtres pouvant être exigeants sur leurs conditions de vie, l’entraide qu’elles peuvent se procurer entre elles mais également la famille restée au pays.
Et là, après Singapour, l’auteur nous entraîne à la découverte de l’Indonésie.
C’est un livre qui se lit très facilement et qui nous fait voyager, mais également réfléchir sur la condition humaine. Une belle lecture.

jeudi 10 septembre 2015

« Loeuk… Tchong Kraoy : La dernière fois » de Phiseth Srun

Il y a quelques temps, les éditions VPS m’ont contactée pour me soumettre leur livre « Loeuk… Tchong Kraoy : La dernière fois » de Phiseth Srun. J’ai enfin eu le temps de le lire et je vous en livre mon point de vue.

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couv74220903Titre :
« Loeuk… Tchong Kraoy : La dernière fois »
Auteur : Phiseth Srun
Genre : récit
Editeur : Editions VPS
Parution : 2014 –
ISBN : 9782954834603 – 248 pages


Extraits de la 4è de couverture : « Au début du printemps 1975, à 12000 kilomètres du Sud-Est de la France, un jeune étudiant de vingt ans, originaire de Phnom Penh et issu d’un milieu militaire, quitte sa ville natale pour se rendre chez ses amis au Laos. Pour ce faire, il doit parcourir 800 kilomètres en autocar, partant de la région Nord-Ouest du Cambodge pour rejoindre Vientiane.
Un mois plus tard, les maquisards communistes « Khmers rouges » envahissent les villes du pays, et en très peu de temps, tous les citadins sont évacués de chez eux. Les intellectuels, les fonctionnaires, mais aussi les soldats du régime déchu comptent immédiatement parmi les premières proies de ces révolutionnaires « pro-Maoïstes », assoiffés de diverses formes de vengeances primitives, et qui se composent majoritairement d’adolescents.
Du jour au lendemain, face aux échos des nouvelles qui circulent dans le mauvais sens, notre jeune orphelin khmer se retrouve ainsi dénué de toutes ressources, mais surtout dépouillé de ses rêves de jeunesse. »


Avis : Tout d’abord, je dois dire que la couverture est vraiment bien choisie. Je la trouve très belle, exotique et fraîche en même temps et elle m’a donné envie de lire le texte qu’elle orne. Seulement en la regardant, j’étais déjà en voyage, au Cambodge.

Quant au récit en lui-même, nous suivons les pérégrinations du narrateur qui quitte sa famille sans savoir qu’il ne la reverra pas. Il ne pourra revenir chez lui du fait de l’invasion par les Khmers rouges et viendra se réfugier politiquement en France.
Le personnage du narrateur est sans extravagance, ses sentiments rarement exprimés ou avec retenue, ce qui correspond, il me semble, à la culture du pays. De même, le style est linéaire, sans vague, renforçant cet aspect.

Le narrateur souhaite que cette page d’Histoire ne soit pas oubliée : « L’arrivée à toute allure de la société de consommation moderne, de l’Internet, et l’influence de la mondialisation des pays voisins, accroissent sans cesse le désintérêt de cette douloureuse mémoire. Pour la génération de Zsunara [le personnage principal], les années sanglantes de l’occupation des Khmers rouges, malgré les années écoulées, malgré les soucis primaires de la vie quotidienne, cette déchirure (ce traumatisme) ne s’effacera jamais de la mémoire collective cambodgienne. »
Ce livre en est une trace.

lundi 7 septembre 2015

« Des raisins trop verts… » d’Anne M.G. Lauwaert

Voici un nouveau livre, très dépaysant que j’ai reçu il y a quelques mois. Je vous en livre aujourd’hui la chronique.

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9782342029031_rTitre : « Des raisins trop verts… »
Auteur : Anne M.G. Lauwaert
Genre : Autobiographie
Editeur : Mon petit éditeur
Parution : 2014 –
ISBN : 9782342029031 – 224 pages


Extraits de la 4è de couverture : « Mon séjour si heureux au Pakistan et, par contre, la perception des musulmans comme ennemis, en Inde, mais aussi mes rencontres déconcertantes en Europe m’interpellent. Si je n’avais pas vécu ces trois situations si différentes même contradictoires, je ne me serais pas intéressée à l’évolution de l’islam en Europe.
Mais au-delà, les moyens de communication aidant, les conflits religieux et la confrontation entre les croyances surannées et les mentalités occidentales ne vont-ils pas mener à la disparition des religions et des sociétés telles que nous les connaissons actuellement? Avec les moyens de communication modernes ne sommes-nous pas en train de vivre une nouvelle Renaissance, exactement comme l’invention de l’imprimerie a bouleversé les valeurs qui avaient semblé immuables pendant des siècles, avant la première Renaissance?… À l’époque, ces changements se sont étendus sur plusieurs siècles… Aujourd’hui, les changements vont à la vitesse d’Internet et sont instantanément planétaires… »


Avis : La découverte du Pakistan et de ses habitants, celle d’une nouvelle culture sont des sujets qui m’ont tout de suite passionnée. J’avais envie de lire ce lire et de connaître l’avis de l’auteur lorsqu’elle a vécu ces moments passionnants lors de ses voyages.
J’ai cependant eu beaucoup de mal avec le style, très descriptif, très énumératif. Il ne me convenait pas du tout mais le sujet m’intéressant, je suis passée outre et heureusement ! Car à mesure de ma lecture, il s’est fait plus souple et m’a mieux convenu.
Toujours avec le style, le texte est ponctué, tout le long du livre, d’une multitude de points d’exclamation.
Plus qu’un récit de ses voyages, c’est une véritable interrogation face à cette culture qu’elle découvre que nous offre l’auteur. J’ai énormément apprécié son questionnement et, au cours de ma lecture, j’aurais bien aimé avoir l’auteur en face de moi pour échanger, commencer un débat.
Je vous citerai ce passage : « Les hommes se sont interrogés devant les phénomènes naturels. Ne pouvant leur donner d’explications scientifiques, ils ont eu recours à des explications « surnaturelles », des métaphores, des allégories. […] Les dieux ont été des réponses aux questions auxquelles alors les hommes n’avaient pas d’autres réponses. Ces croyances sont-elles encore rationnelles aujourd’hui ? Mais surtout, est-il encore tolérable de continuer à s’entretuer au nom de croyances ? »

jeudi 3 septembre 2015

« Aberfan project – La prophétie de Chartres » d’Eric Chesneau

J’ai reçu il y a quelque temps ce livre, « Aberfan project – La prophétie de Chartres », d’une maison d’édition partenaire. Je les en remercie. Ella Editions m’attire tout particulièrement car elle publie des livres ayant rapport avec l’Eure-et-Loir et la Vendée. Ayant habité quatre années en pays chartrain, j’ai une attache particulière pour l’Eure-et-Loir, d’autant plus que mon fils cadet y est né. Je suis donc avide de prendre connaissance de leurs livres et ai réceptionné et lu leur premier avec plaisir.

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10448782_817161121635135_9156471451033188173_nTitre :
« Aberfan project – La prophétie de Chartres »
Auteur : Eric Chesneau
Genre : thriller ésotérique
Editeur : Ella Editions
Parution : 2013 –
ISBN : 9782368030899 – 520 pages


Extraits de la 4è de couverture : « 1897 à Paris.
L’enfer de l’incendie du Bazar de la Charité.
Une jeune écrivaine sauve d’une mort atroce une vieille femme qui lui transmet un don dangereux.
1900, à Qumrân.
Un aventurier italien découvre en terre-sainte des rouleaux de peau sur lesquels sont gravés l’impensable… ainsi qu’une prophétie deux fois millénaire.
De nos jours dans le pays chartrain.
Alors que le nouveau pape s’apprête à célébrer les fêtes mariales, un mystérieux tueur signe ses crimes en laissant près des victimes des romans de Jules Verne.
Des rives de la Mer Morte à Chartres en passant par Rome, le Thymerais et Paris, ce thriller ésotérique et fantastique plonge un journaliste et les siens au cœur d’une conspiration planétaire.
Qui sont donc ces mystérieux Apôtres de l’Apocalypse qui brouillent les cartes ou plutôt… les lames du tarot divinatoire ? »


Avis : Je me suis plongée très facilement dans le livre. Les courts chapitres m’ont permis de suivre aisément les différentes périodes. Mais ce qui a été un bonus en début de livre l’a moins été par la suite car je profitais de ces fins de chapitres pour arrêter ma lecture. Le rythme effréné a repris sur la fin du livre et je l’ai enfin rapidement terminé. Je voulais connaître la fin !
Elle m’a surprise, interloquée. Il est d’ailleurs écrit « Dans les romans, il y a toujours une fin. On l’adore ou on la déteste, on la trouve faiblarde ou alors elle rattrape le reste de l’ouvrage… » Je ne continuerai pas, pour ne pas vous donner de piste.

Tout au long du livre, l’histoire est saupoudrée de l’humour de l’auteur, de ses jeux de mots. Il m’est même arrivé de relire quelques phrases pour les comprendre ;)

J’ai facilement fait connaissance avec les personnages même si, j’avoue m’être un peu mélangée les pinceaux avec ceux de 1900 (mais c’est vite revenu dans l’ordre). J’ai lu dans une critique que le personnage principal manquait un peu de consistance avec pour preuve, on ne se rappelait pas de son prénom à la fin du livre. Il est vrai que je ne m’en souviens pas mais cela ne m’a nullement gênée dans ma lecture. Pour moi, l’important n’était pas là mais dans les aventures que lui et ses compagnons vivaient.